le réveil sans réserve de l’arrivée dans la ville il faut tout d’abord passer par l’accueil arpenter de très larges couloirs au blanc étincelant bordé des deux frises plus sombres sa chambre était une maison en miniature prête à exploser de tous ses souvenirs d’abord le temps du café dernier plaisir manutentionnaire on se prépare ensuite pour la belle salle à manger qui se pare tout en attentions délicates ça ressemble à un faux restaurent la rumeur de la salle commune nous envahissait parfois des rires sonnaient elle comblait les vides avec des paroles qui sentaient le parfum des vieilles fleures par son haleine à nouveau de café elle m’apprenait en tournant les lourdes pages des albums photos qui était qui qui était mort les ressemblances elle ne pouvait plus voyager loin son coeur non plus le moment de la pièce sortir et gouter un peu à la ville au frais de ce grand magasin sous terre voiture de police en poche on se dépêche pour le gouter en silence on arrête les voleurs sur l’épais tapis on guettait les premiers signes de fatigue son regard soudain dans le lointain on avait plus qu’à rembobiner jusqu’à la prochaine fois