Tout est parti de Autobiographies #13, une proposition que j’ai dû encore détourner (mais ne sont-elles pas faites pour ça?) et l’envie de poursuivre encouragée par vos commentaires. Voilà, c’est fait de petits bouts et par moments, je me demande si je ne suis pas en plein gros délire… Il n’est pas impossible que ce texte soit amené à être entrelacé avec un autre mais les raccords me paraissent très compliqués pour le moment. Je dois pouvoir continuer encore un peu (tâchons d’assumer la brièveté comme dit FB) mais là, je cale, je viens chercher vos sincères remarques. J’avoue que ce petit début de chantier (c’est très court et je ne crois pas que ce sera jamais bien long) m’amuse assez, je ne sais pas si c’est bon ou mauvais signe … Bon ben , je vais pouvoir lire les vôtres à présent…
étonnante cette recherche sur le corps, ça m’intéresse. J’ai particulièrement ressenti la tête baissée et le démembrement… tellement en écho avec tes premiers mots « Je ne sais pas qui je suis ».
Très envie de lire la suite
Merci Danièle de ta réaction encourageante parce qu’il y a vraiment des moments où je me demande ce qui m’a pris avec ce truc, bon, là je cale un peu je dois dire, je vais petit être attaquer la peau et surtout lire tes 150 pages, tu n’as pas chômé dis donc!
Bonjour Catherine,
J’ai adoré cet autoportrait. Drôle. Tendre. J’aimerais encore le relire. Et lire encore d’autres choses sur ce corps si fervent. Il est animé d’une force déroutante (un peu comme celle de Michaux) et sensible qui me ravit.
A bientôt une suite ? Oui, j’espère.
Merci Louise, d’avoir lu et d’écrire de si gentilles choses, je tache de continuer tant que ça frétille encore dans mon esprit
Catherine, c’est un texte extraordinaire ! Je voudrais tant l’avoir écrit. Oui, comme on l’a évoqué hier au zoom, ça sonne comme du Sarraute, mais sur un sujet sublime et tu l’explores à fond, sans que je ne trouve une faille, quelque chose qui grince. C’est parfaitement abouti. Très heureuse pour toi et grand bravo ! Je l’ai laissé lire par l’ordi et à entendre c’est doublement beau.
abouti, abouti, il n’y a qu’une poignée de pages ! mais je continue et j’ai téléchargé ton chantier pour le lire…Merci de ton commentaire, ça porte!
J’aime beaucoup ton projet (son humour gris noir) j’aime beaucoup cette désarticulation qui fait articuler à se démantibuler tous les recoins de la tête-corps ( Michaux évoqué, pensé à Bras cassé… ) à Louise Bourgeois aussi ( pourquoi?)
Merci Nathalie, ce projet me désarçonne et m’amuse tout à la fois, pas le choix, je continue! Louise Bourgeois avait une certaine vision du corps, peut-être pour ça… Je suis entrain de lire ton livre tout en charmes, et il me plait, t’enverrai un mail dès que fini, mais avec tout ce qu’il y a à lire ici, je ne sais plus où donner de la tête !