#L8. Fantômes d’encre et de larmes
D’abord il ne voit rien, les ténèbres ont envahi ses yeux, recouvrant de leur voile d’ébène ce qui luisait il y a quelque temps encore mais dont la bougie intérieure s’est éteinte à jamais, solitude implacable et sans nom, et le froid qui s’empare de lui alors que c’est l’été, d’où vient-il ce fantôme gelé qui le traverse, suaire liquide Continuer la lecture#L8. Fantômes d’encre et de larmes