A propos de Piero Cohen-Hadria

(c'est plus facile avec les liens) la bio ça peut-être là : https://www.tierslivre.net/revue/spip.php?article625#nb10 et le site plutôt là : https://www.pendantleweekend.net/ les (*) réfèrent à des entrées (ou étiquettes) du blog pendant le week-end

nouvelles #lire et écrire # | Piero C-H (avant (et après – 4) coureur)

plantage dans la remontée – remontée tous les 29 (ici la deuxième – 175 révisions, durée de lecture 40 minutes affirme le bouzin), changement de page tous les trois mois M|6 une femme, mère de deux enfants, trente-deux ans, docteure en littérature française, s’est fait agresser à l’université, elle était en cheveux comme on dit – on lui a lacéré Continuer la lecturenouvelles #lire et écrire # | Piero C-H (avant (et après – 4) coureur)

# LVME # 05 | pas 54

Il doit avoir un chiffre fétiche – en tout cas, pour ma part, je n’en dispose pas – 39 je crois que c’est pour le type du 18° (Thomas Clerc) – il y a un dossier « carnet d’atelier » j’y range souvent les images trouvées ici ou là, deux cent soixante-dix documents (je les publie ailleurs) (le grand carnet) – j’en Continuer la lecture# LVME # 05 | pas 54

#LVME # 03 | pléthore

Une grande table, une grande pièce, plusieurs fenêtres, une arrière-cuisine, plus une buanderie qui ferait suite avec tout le petit personnel auquel on accorde un confiance mesurée qui s’affaire – tabliers et gants et tout le tralala ? qui me fait souvenir de quelque chose (si ça me revient je le pose), mais non ici, quatre mètres carrés, un décrochement (à Continuer la lecture#LVME # 03 | pléthore

#LVME #02 | Pseudonymes

Il y aurait à fabuler – comme une espèce de conte auquel on ne croirait pas tout à fait : par exemple, cette visite dans le courant des années soixante-dix aux chefs de l’Otan – étazuniens : qu’en est-il aujourd’hui ? une certaine résurgence semble se faire jour, les États dits Baltes, l’affiliation de la Finlande – à la manœuvre Kissinger, aux Continuer la lecture#LVME #02 | Pseudonymes

#LVME # 01 | nulle part

On le voyait partout, on en était sûr : au volant de cette décapotable rouge qui démarre dès que le feu passe au vert – il respecte le code, c’est un homme respectable, bon père de famille et même, à présent, grand-père. On le voit partout mais il n’est nulle part. Une boulangère l’a aperçu au même moment, qui regardait l’intérieur Continuer la lecture#LVME # 01 | nulle part

# écopoétique #10 bis | et là

Je l’ai pris quelque part, ça peut toujours servir – il ressemble aux graviers mais seulement dans le ton, pas dans la taille, un peu dans la forme – ces choses-là n’ont que peu de standard (on doit peser, je suppose, après les avoir produits – la route de Louviers, les tas de cailloux, et les autres en Guyane et Continuer la lecture# écopoétique #10 bis | et là

#écopoétique #10 | ici là et là

C’est juste du vol – pas grand chose, probablement mais quand même : une espèce de vol – il y a quelque chose de particulier parce que, souvent à mon entrée, très souvent (parfois aux pieds des arbres de l’avenue j’en trouve mais le plus souvent – je n’y vais pas non plus tous les jours) sur la droite, il y Continuer la lecture#écopoétique #10 | ici là et là

#écopoétique #09 | les premiers jours de Mai

Les premiers jours de Mai (dimanche soir) Quelque chose qui lui était promis – un honneur et une grâce, une charge et une ânée peut-être, des émoluments en tout cas (une forme de rémunération pour des services honorifiques peut-être mais rendus – il aurait eu soixante deux ans, respectable – des frais de représentation, un tailleur, un coiffeur une manucure Continuer la lecture#écopoétique #09 | les premiers jours de Mai

#écopoétique #08 | soixante-dix-huit

Tu sais quoi ? Je vois ça de ma fenêtre. Ici. D’ici. C’est une époque dont je ne me souviens que mal – ou peu – il y avait déjà eu des deuils – nombreux – trop nombreux, toujours – c’est loin et lui ne fait pas partie du paysage. Depuis quatre ou cinq ans, on vivait à Paris. Ce n’était Continuer la lecture#écopoétique #08 | soixante-dix-huit

# éco-poétique #6 | retour

Un jour comme tous les autres de cette quinzaine-là, la piscine est derrière la macu, tous les matins une cinquantaine de longueurs – pas si lentement en crawl (la première fois que je nageai dans cette eau-là – piscinière – le prof de gymnastique m’avait demandé si je savais vraiment nager – huit ans – en fait non, pas dans Continuer la lecture# éco-poétique #6 | retour