A propos de Piero Cohen-Hadria

(c'est plus facile avec les liens) la bio ça peut-être là : https://www.tierslivre.net/revue/spip.php?article625#nb10 et le site plutôt là : https://www.pendantleweekend.net/ les (*) réfèrent à des entrées (ou étiquettes) du blog pendant le week-end

#LVME #02 | Pseudonymes

Il y aurait à fabuler – comme une espèce de conte auquel on ne croirait pas tout à fait : par exemple, cette visite dans le courant des années soixante-dix aux chefs de l’Otan – étazuniens : qu’en est-il aujourd’hui ? une certaine résurgence semble se faire jour, les États dits Baltes, l’affiliation de la Finlande – à la manœuvre Kissinger, aux Continuer la lecture#LVME #02 | Pseudonymes

nouvelles #lire et écrire # | Piero C-H (avant (et après – 4) coureur)

plantage dans la remontée – remontée tous les 29, changement de page tous les trois mois M|6 une femme, mère de deux enfants, trente-deux ans, docteure en littérature française, s’est fait agresser à l’université, elle était en cheveux comme on dit – on lui a lacéré ses vêtements m’a-t-on rapporté – elle est sortie dans la rue en sous vêtements, Continuer la lecturenouvelles #lire et écrire # | Piero C-H (avant (et après – 4) coureur)

#LVME # 01 | nulle part

On le voyait partout, on en était sûr : au volant de cette décapotable rouge qui démarre dès que le feu passe au vert – il respecte le code, c’est un homme respectable, bon père de famille et même, à présent, grand-père. On le voit partout mais il n’est nulle part. Une boulangère l’a aperçu au même moment, qui regardait l’intérieur Continuer la lecture#LVME # 01 | nulle part

# écopoétique #10 bis | et là

Je l’ai pris quelque part, ça peut toujours servir – il ressemble aux graviers mais seulement dans le ton, pas dans la taille, un peu dans la forme – ces choses-là n’ont que peu de standard (on doit peser, je suppose, après les avoir produits – la route de Louviers, les tas de cailloux, et les autres en Guyane et Continuer la lecture# écopoétique #10 bis | et là

#écopoétique #10 | ici là et là

C’est juste du vol – pas grand chose, probablement mais quand même : une espèce de vol – il y a quelque chose de particulier parce que, souvent à mon entrée, très souvent (parfois aux pieds des arbres de l’avenue j’en trouve mais le plus souvent – je n’y vais pas non plus tous les jours) sur la droite, il y Continuer la lecture#écopoétique #10 | ici là et là

#écopoétique #09 | les premiers jours de Mai

Les premiers jours de Mai (dimanche soir) Quelque chose qui lui était promis – un honneur et une grâce, une charge et une ânée peut-être, des émoluments en tout cas (une forme de rémunération pour des services honorifiques peut-être mais rendus – il aurait eu soixante deux ans, respectable – des frais de représentation, un tailleur, un coiffeur une manucure Continuer la lecture#écopoétique #09 | les premiers jours de Mai

#écopoétique #08 | soixante-dix-huit

Tu sais quoi ? Je vois ça de ma fenêtre. Ici. D’ici. C’est une époque dont je ne me souviens que mal – ou peu – il y avait déjà eu des deuils – nombreux – trop nombreux, toujours – c’est loin et lui ne fait pas partie du paysage. Depuis quatre ou cinq ans, on vivait à Paris. Ce n’était Continuer la lecture#écopoétique #08 | soixante-dix-huit

# éco-poétique #6 | retour

Un jour comme tous les autres de cette quinzaine-là, la piscine est derrière la macu, tous les matins une cinquantaine de longueurs – pas si lentement en crawl (la première fois que je nageai dans cette eau-là – piscinière – le prof de gymnastique m’avait demandé si je savais vraiment nager – huit ans – en fait non, pas dans Continuer la lecture# éco-poétique #6 | retour

#écopoétique #05 | un coin

Le coin d’une rue et d’un passage (là vivait une enquêtrice, elle avait un fils, ses parents vivaient sur le faubourg, ils étaient en froid ou je ne sais plus – elle a dû rester dans la boîte quelque quinze ans – on avait travaillé ensemble chez RJJ quelques années aussi – auparavant, le travail c’est aussi cette époque-là) il Continuer la lecture#écopoétique #05 | un coin

#écopoétique #04 | Quadrilatère

Je n’y suis jamais retourné, ou alors sans le savoir – on ne sait jamais – sans le savoir vraiment – on ne sait pas on avance : c’était un dimanche matin, tôt dans le style des six ou sept heures personne dans les rues mais le jour y était, le rendez-vous place de la Nation, début des années quatre-vingt, Continuer la lecture#écopoétique #04 | Quadrilatère