A propos de Nolwenn Euzen

blog le carnet des ateliers amatrice de randonnée (pédestre et cycliste) et d'écriture, j'ai proposé des séjours d'écriture croisant la marche et l'écriture, et des ateliers deux livres papiers et un au format numérique "Babel tango", Editions Tarmac "Cours ton calibre", Editions Qazaq "Présente", Editions L'idée bleue revues La moitié du Fourbi, Sarrasine, A la dérive, Contre-allée, Neige d'août, Dans la lune...

écopoétique #09 | Petit éloge de la profondeur

Petit éloge de la profondeur mais laquelle ? Celle de l’infiniment petit invisible à l’œil nu, celle, cachée derrière une membrane cellulaire, la profondeur d’une nervure de feuille, d’un vaisseau sanguin, du filament souterrain d’une racine ? Chaque plante à nos côtés sur le trottoir, sur le bord de nos circulations, les plantes communes, celles dont on se fiche la plupart Continuer la lectureécopoétique #09 | Petit éloge de la profondeur

#écopoétique #08| quitter Paris par les berges

Pour cette 8ème proposition du cycle, je reprends des notes prises lors d’un itinéraire à vélo que je m’étais donné de réaliser comme un défi personnel et qui consistait à quitter Paris à vélo depuis mon domicile en suivant les berges. Plus précisément, je ne partais pas de Paris mais de sa proche banlieue est. D’où un itinéraire passant par Continuer la lecture#écopoétique #08| quitter Paris par les berges

#écopoétique #07 | ni fourchette ni bitume

ni chambre ni élection ni fusée ni lotissement ni fuel ni hamburger ni combustible ni ketchup ni Fake news ni kangourou ni loup ni aigle ni cloporte ni fourmi ni fourrure ni rue ni courant ni débit ni conteneur ni conserves ni smartphone ni ours ni tech ni phoque ni écran plasma ni IA ni âne ni chat ni chien Continuer la lecture#écopoétique #07 | ni fourchette ni bitume

#écopoétique #03 | un jardin sur le néant

Jardin potager de la Ferme du bonheur Les jardins improbables – nés en terrain hostile ils ont réussi à surmonter d’innombrables obstacles pour être là, avec parfois quelques buddléias, ronces, chardons, quelques vergerettes du Canada, des graminées… Parfois une simple pousse de pissenlits coincée dans la fente entre le mur vertical d’un bâtiment et le commencement du trottoir, avec l’écoulement Continuer la lecture#écopoétique #03 | un jardin sur le néant

#écopoétique #04 | paysages écocides, paysages du dé-goût ? paysages – égout

« Et peut-être tu te rends compte de la défaite des sens, déjà. Je me promène dans un paysage et je n’y reconnais rien de ce qu’il est. Je crois que je l’aime parce que je le rapporte à ce que je connais déjà. Des sensations de vacances, des îlots d’enfance, les vignes qui s’alignent sur la terre blanche, ma mère Continuer la lecture#écopoétique #04 | paysages écocides, paysages du dé-goût ? paysages – égout