De celle qui ne s’y reconnaît
Mais cette manière que tu as de tendre la main. Cheveux tirés fins à l’arrière de la tête, ta tête, plaqués au crâne, ta figure creusée par le temps : sorte de masque taillé à même les os, la peau drapeau en berne s’affaissant par endroit, les pommettes surtout, saillantes et la peau s’y tirant, puis retombant. Ton regard, ce Continuer la lectureDe celle qui ne s’y reconnaît