carnets individuels | marine riguet
#1 Il y aurait eu les odeurs. À présent je vois davantage les corps qui bougent. Il y en a peu ici. On prend le temps de les voir se former, marcher à côté des pierres énormes d’église. Une femme promène son chien – je dis femme mais c’est son corps qui me suspend à lui, l’impossible tourment des jambes Continuer la lecturecarnets individuels | marine riguet