mémoire d’un visage
Ne suis pas, n’ai jamais été physionomiste. Le visage de Julien se perd dans le souvenir de sa présence, de la tonalité de son corps comme un escargot. Son gros pull en laine aux cotes lâches laissaient passer le vent et touchaient ses tee-shirts délavés, et en-dessous son torse maigre, ses côtes lisses qui appelaient l’océan, ses côtes comme des Continuer la lecturemémoire d’un visage