autobiographies #07 | portes de couleur
On prenait le cent vingt-six, en bas. Le voyage durait peut-être trente minutes, ce temps me semble aujourd’hui avec mon regard d’adulte réaliste, à cette époque-là, il devait durer plus d’une heure. On descendait du bus, on traversait le square, les arbres, les arbustes, le gazon, le vert. On traversait le pont au-dessus du périphérique, on tournait. Au soixante et Continuer la lectureautobiographies #07 | portes de couleur