#enfances #06 | Le temps n’apaise rien, la voix n’est plus
Elle avait de petites intonations de douceurs reconnaissables entre mille. Elle me regardait sans ciller. Elle avait une manière unique de m’écouter, de m’interroger sur tout et sur rien, sur ce qui faisait la vie. Que cette douceur me manque. Que cette voix me manque.Indécrottable humaniste, combien de fois demeurais-je déroutée lorsque j’assistais à une remise en place bien sentie Continuer la lecture#enfances #06 | Le temps n’apaise rien, la voix n’est plus