Chant profond
Ma première vraie rencontre avec Felicia a eu lieu après sa mort. De son vivant je la croisais parfois, elle et son caddy au Marigny, un bar-tabac de coin de rue parisien devant lequel à l’époque les tables étaient rares. Elle se posait invariablement à celle de gauche en face du comptoir, encombrant le passage de son fourbi, auquel elle Continuer la lectureChant profond