#anthologie #33 | couché dans la grande prairie
Une nouvelle lueur, un nouveau langage gravé sur les parois suintantes de la sueur et du sang des vivants, on n’oublierait pas la couleur du ciel inscrite en nous depuis longtemps ni l’odeur de la terre rafraîchie par l’averse, mais le monde d’en-bas serait immense et pas aussi silencieux qu’on l’aurait cru, chaque murmure amplifié par le jeu des échos Continuer la lecture #anthologie #33 | couché dans la grande prairie