#photofictions #04 | les vivants qui vont bien
Marwane est accoudé à la fenêtre, porte ouverte sur la campagne nue, rase et nue comme un petit bidon en friche, sorti de la chemise, une campagne négligée aux cheveux rabattus, il fait déjà froid depuis quinze jours alors qu’on vient de quitter les dorures du soleil, l’air frais et la fenêtre comme un cadre plaqué sur le corps du Continuer la lecture#photofictions #04 | les vivants qui vont bien