L’œil tu
Sur le fin visage creusé où la peau semble douce s’allonge un sourire cousu par point, étiré par la force du dentier, suivi du nez où repose à son arrête la paire de lunettes, deux carreaux que font briller la lumière électrique sous lesquels les deux yeux reposent, clos. Définitivement. Au-dessus la déclivité du front mène aux cheveux peu épais, Continuer la lectureL’œil tu