« A cause de la couleur » devient une ritournelle scandée sous mes pas tendis que je marche dans les rues de la Ville j’entends mal cette cause qui sonne comme un jugement et crois voir apparaitre qui prendrait la couleur ( la couleur ? les couleurs ? ) pour la jouer et déclarer coupable, responsable en tous cas de quelque chose mais justement par ce que rien autour n’en est exempt il faut que quelqu’un s’en souvienne donc ce sont mes pieds qui marchent là-dessus et mes yeux demeurent sans doute dans la poche de Joyce pendant ce temp-là. Tête asséchée face à cette à cause mais.
mais… main habile à coucher les mots sur une surface blanche. Merci
merci !