Brahms, Intermezzo un de l’opus cent-dix-huit. Déjà travaillé en décembre deux mille treize, comme l’atteste la note portée au crayon en haut à droite de la page. En haut à gauche, la mention, toujours au crayon : sans tituber. Puis, voix, polyphonie, rigueur. Le premier do en octave souligné en rouge. Dernier temps descendant sur le si bémol du premier temps de la mesure suivante. Le signe – de entre parenthèses déclamation. Eclairage. Peu de lyrisme. Lui travailler les côtelettes.
Brahms, Ballade Un de l’opus dix. D’après la ballade Ecossaise « Edwards » de Herder. Nouvelle édition revue par L.Philipp. Au-dessus, le titre en gras Quatre ballades, avec une date au crayon Janvier deux mille dix huit. Mentions, toujours au crayon : poignets soudés. Sombre juste ce qu’il faut. Très choral. Vx horizontales. En octave/ m sep / sans les appoggiatures. Tout m sep m ens. Mes 1 à 2 E parle avec sa mère : les deux premières questions de m, les deux premières réponses de E.
Brahms, Ballade Un de l’opus dix. Dans le Più moto. Notes au crayon tout en haut de la page. Mes 27-59 – Allegro. Après avoir menti deux fois, E révèle qu’il a tué son père. Main droite seule sans croiser. Puis texte – inexorable. A la militaire x 4 mes ? coup d’archet sur chaque croche. Chant. Par groupe de fa fa fa… chant pouce gauche. Fa mi fa… Travail m sep au tempo. Mg avec 3 pour 2. Md avec les croisements. Pour garder la direction +++ En octaves pour empreintes.
Brahms, Ballade Un de l’opus dix. Dans le sempre cresc. La mention cresc. est reprise et entourée d’un trait de crayon. Notes au crayon sur le soufflet aboutissant au FF. Pas caoutchouteux. Plus de trois voix ! Dialogue bas-haut. Allegro blanche pointée très allongée sans rester doigts enfoncés flèche 4e temps suivant. Tenue par la Ped flèche déplacements. Moteurs. Fa. Sol. La. La blanche pointée longue. Blanche pointée. A l’octava sur Si bémol, E reconnait le meurtre.
Brahms, Klavierstucke opus cent dix neuf. Komponiert 1892. Intermezzo un. En-dessous, mentions au crayon. « berceuses de ma souffrance ». Avril 18. Ne pas jouer en digestion. Voir l’Adagio en Andante pour la ligne. Concrétiser physiquement. Le poids en haut. Le haut solide. Affirmer sans déplumer. Un cœur dessiné au crayon sur le do bécarre de la mesure cinquante-sept. Note au crayon, presque effacée en bas de page. Rentrée dix-huit/dix-neuf Mozart : Andante / Schubert Sonate.
Emportée par le lire et le son en 3D : un volume. Non experte, je me suis retrouvée prise au piège de l’imaginaire provoqué.
Merci de ta lecture CM… période peu faste au piano – je perds un de mes chers professeurs – pages tournées, sans lien autre que ses mots à elle, que j’ai toujours noté au hasard des pages et plages blanches sur la partition. Comment poursuivre ?
« Comment poursuivre ? » mais en jouant, en écrivant (votre texte, une si belle musique)
« Jouer à être, jouer et être… »
Abrasifs, très beau texte de Hervé Bouchard (qu’on peut retrouver dans la revue Fracas)
Merci pour l’info ! Toujours besoin de renouveau dans mes lectures.