Ouvre cette porte me dit mon père. Mais je ne veux pas, je ne veux pas. Ne fais pas l’idiote, ouvre donc cette porte, tu n’es plus une enfant… La porte a grincé férocement avant de daigner s’ouvrir sur un cagibi tout noir. Assise sur un tabouret, ma mère tient une bougie éteinte à la main, elle écarquille les yeux et semble étonnée de nous voir. Pas autant que moi. Mais Maman qu’est-ce ce que tu fais là , tu es morte depuis vingt ans. Qu’est-ce que ça peut faire qu’elle soit morte ? Je le suis bien moi ! a rugi mon père, mais alors, mais alors moi aussi peut-être ? Non ? Si ?
Tellement vivant ce texte! un dingue d’Azerty vous remercie!
une dingue…
J’aime beaucoup la pirouette finale
Merci à vous, Virginie et Eve, que faire de cette famille recomposée?
tellement saisissant !
gratitude…
ah ah tu nous as eus et ça te ressemble tellement…
j’ose dire à suivre ? justement qu’en faire ??
salut Catherine
hihi les macchabés me ressemblent !!!! suis pas sure de suivre mais quel amusement !
j’adore ! et c’est fou, je suis actuellement sur la 8 avec des résonances avec ton texte, je comprends encore mieux ton retour sur la 7, merci Catherine