La solitude tire à blanc quand elle n’a pas d’échos dans lesquels se fondre. A quoi bon l’étaler quand elle n’est pas poétiquement correcte, quand elle n’est que transpiration matinale devant une tasse de café sans altérité, quand elle n’est que pleurs silencieux devant les angoisses du monde qui enfle de colère, quand elle n’est que perplexité non créatrice devant un tuyau qui fuit, quand elle n’aspire qu’au silence honteux des vies pas dans les clous ?
Merci Marie Caroline, je suis très touchée par ton texte…de solitude.
Merci Clarence pour ta lecture…touchée en retour et contente de retrouver les noms familiers de l’atelier…
C’est drôle comme la solitude est associée à la couleur blanche, ici dans ce texte percutant, ailleurs dans d’autres textes « ciel tendu à blanc », « à l’heure où blanchit la campagne », « le ciel blanchi ». Merci Marie-Caroline !
oh merci Cécile pour ces liens entre les textes….vraiment …à bientôt
La solitude sans écho, merci pour ce texte;)
Merci pour cet écho de lecture Nolwenn…
tu nous donnes quand même envie de te rejoindre pour s’assoir un moment en face de toi et partager un café
solitude…
Avec plaisir Françoise..merci pour ton passage par ici!
Marie Caroline on peut aussi s’en faire une habitude une amie de bon secours
Merci Brigitte …au plaisir de se revoir, en vrai ou en textes…je t’embrasse