au bout de l’allée, entre un figuier qui n’a que des feuilles et un mur de vignes et de chèvrefeuilles emmêlées, le mur de pierres finissant dans l’eau du bassin, elle est là sur le rebord où le soleil est encore, dans le silence d’après le bain.
Voix off : l’arbuste est devenu arbre, rituelle la caresse à son écorce, il fait nuit à présent, dix marches à monter, trois syllabes murmurées, le grand W de Cassiopée invente un autre murmure, dix marches sans descendre jamais, Ca-ssio-pée, ton murmure en échos.
Dans le silence d’après le bain on se laisse envoûter par cette voix off et cette disdascalie, comme un poème. Merci Ugo !
Le jeu des deux textes en écho; un poème . Si calme, si doux. Fait bon être là. Merci Ugo.
je me demande pourquoi ne me décourage pas en vous mlisant mais me vient l’envie de m’y mettre sans que cela s’accompagne du désir stupide et hors de portée de vous imiter
merci Ugo encore une fois
Merci Brigitte, Nathalie, Camille de passer encore. Vos retours exagèrent. Mais qu’il est bon d’aller et venir avec vous dans ce labyrinthe. Merci.
Si belle cette voix !