Le portrait de Marcel Proust tout en camaïeu ocre à l’encre auto réfléchissante sur un panneau dit marron planté au bord de l’autoroute. Il fait obligatoirement trois mètres sur six.
Il n’y a plus que le silence. Tous les bruits extérieurs se taisent, tombent en arrière-plan quand le rossignol philomèle chante : volutes et cascades.
Six rangées de danseurs et danseuses vêtus d’un pantalon noir et d’une longue tunique blanche font des mouvements saccadés, une sorte d’art martial sous un immense ennéagramme. La musique au piano est de Gurdjief.
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Dans un cadre en bois, les pièces du puzzle ont été collées sur un fond contre plaqué fin. Deux mille cinq cents pièces, les montres molles de Salvador Dali.
Le chat maneki-neko à l’énergie solaire balance son bras d’avant en arrière avec la précision d’un pendule à côté d’une plante verte.
Court et superbe! On en voudrait à l’infini comme ça.(533?) Cela me rappelle la proposition 19 sur les photos. Merci Romain!