Il y a des cailloux, des pierres qui roulent sous ses pas. Toujours on lui a dit d’avancer, ne pas regarder en arrière, lever la tête, mettre de bons souliers.
Un banc, elle avait encore acheté un banc, à quoi ça sert trop de bancs, c’est pour les paresseux, les taiseux, autant d’arbres, autant de bancs, elle se dit c’est normal, beaucoup de bancs.
L’été la lumière se glisse entre les persiennes, diffuse elle ne suffit pas à éclairer ses doigts pour la broderie. Elle ferme les yeux, elle les ouvrira comme une joie pour pousser les persiennes puis sous des éclats de lumière, elle agitera ses doigts, elle lui a promis ce sera bientôt fini.