Avec la brume, les nuages et la mer, les scénographes italiens mentent parfois pour faire croire qu’il n’y a pas d’îles à l’horizon. Longtemps, bien longtemps après la disparition de sapiens, l’image mensonge d’un horizon sans terre devient réalité. La brume, les nuages, les mers, les océans me font donc voir ce qu’il advient.
Ce serait un beau début de récit.
Peut-être. Mais il est sans doute trop tard. Merci Perle de passer par là.
Jamais trop tard pour les beaux récits