Plus que la manière de les produire, de les distribuer au travers d’agences et de les présenter, c’est ce qu’elles montrent qui intéresse – il faut savoir les lire, les déchiffrer et les interpréter sans doute, mais surtout savoir que sans leurs légendes, elles ne sont rien.
le polaroid comme le disque noir
les images industrielles
celles qui nous viennent de la station spatiale internationale
celles de la face cachée de la lune
la possibilité de retrouver le portrait de Germano par exemple, à l’époque
ici lors de son procés en 1996 – le titre indique
Moro , perpétuité pour Maccari
voir les images postées raconter un journal
pratiquer des études de cas images à l’appui (celles du journal)
durant la première confination-détention (mars à mai 2020) s’envoyer des images des plats cuisinés
« …savoir que sans leurs légendes, elles ne sont rien. » c’est une vraie question (et je me demande…) oui apprendre à les déchiffrer à les lire ou créer leur légende . Merci Piero
bien sûr sans les légendes, photos sont illisibles pour ce qu’elles ont voulu montrer… mais sait-on toujours si la photo est (la) bonne ? (pas trafiquée, déjà par le regard du photographe…) tellement arbitraire une photo… bref, je m’en tiens là.