je ne saurai jamais pourquoi Sherlock Holmes, cet ami véritable dont la compagnie me manque, s’est érigé en juge et transformé en bourreau. J’ai été son complice. J’emporterai avec moi ce lourd secret. Pourquoi avons-nous assassiné les frères Moriartini ? Pour éviter, certes, cette humiliation à la justice d’être une nouvelle fois un jeu d’escrime illusoire contre le crime. Mais mon ami, mon complice, avait certainement, lui, une raison bien plus profonde que je ne connaîtrai jamais. Holmes n’eût-il pas existé, je n’aurais pas fait moins : peut-être seulement a-t-il jeté un peu de lumière sur la partie la plus sérieuse de ma vie.
Superbe, Ugo ! Ce qui est révélé et ce qui reste dans l’ombre.
Merci Helena de ton passage. Je n’ai fait que recopier une fiction déjà écrite.
.. la justice.. un jeu d’escrime illusoire….et parfois à couteaux tirés… Merci!
« un peu de lumière sur la partie la plus sérieuse de ma vie. » la grandeur de l’amitié ! ( celui ou celle pour qui on porterait un cadavre sans poser de question ). Merci Ugo c’est émouvant .
La partie la plus sérieuse, et peut-être la plus sombre ?