Dit-il, pour dire que c’est facile,…écrire, c’est comme parler…on n’a besoin de rien lire… lire le moins possible…les quelques personnes qui écrivent font une espèce de mafia pour empêcher les autres d’entrer…écrire c’est comme parler…si on arrive à parler, on arrive à écrire…on écrit si peu…les gens drôles n’écrivent pas…les gens écrivent parce qu’ils ne sont pas drôles…écrivent parce que c’est un métier…ou écrivent parce qu’ils veulent écrire un livre…tout cela est erroné, écrire c’est comme respirer, parler…apprendre à parler, ça c’est difficile, apprendre à lire, c’est difficile…écrire, tout le monde sait le faire…le problème c’est qu’on ne sait pas qu’on sait… nos cerveaux sont suroccupés, un cerveau suroccupé ne peut pas écrire…
Il, c’est Miguel Esteves Cardoso.
… écrire c’est comme respirer…la consigne de F.B était aujourd’hui dans ce souffle vital. Merci !
Merci, Eve ! Je ne m’en étais pas rendu compte, merci de me rappeler !
Et enfin te lire et retrouver tes mots après avoir tant écrit dans ce cycle marathon pour rattraper le retard accumulé. Je ne dois pas être très drôle alors mais ton texte, lui, est (comme le dit Eve) vital pour tous ceux qui continuent d’apprendre à écrire !
Merci, Camille. Ces mots ne sont pas de moi, mais d’un écrivain que j’admire.