le lézard autochtone est là qui soutient mon regard jusqu’à mon endormissement, puis viennent les chats apaisant jusqu’au rythme de mon cœur, enfin, dans un rêve, les absents d’ici qui me manquent, un millier d’écureuils, deux mille pies bavardes, huit-cent-quatre-vingt-dix ratons-laveurs et trois pandas
A mon réveil, je savais que le compte était bon. Pas sur pour autant d’avoir bien observé ou bien compris la consigne. Qu’importe : ce qui compte, c’est le conte, non ?
Rêve endiablé, et mouvementé, fable comptée, clin d’oeil,
Et oui tu nous déplace ailleurs et on cherche la consigne et tu la détournes et enfin, on est capturé, Ugo.