tout est pareil aux jours qui précédèrent / le chat contre moi / les lumières à l’horizon / un cendrier à vider / la fraicheur de la nuit / le confort d’un coussin / un dernier SMS vers les mains qui me tiennent / le smartphone enfin reposé / le silence / et puis brusquement, à nouveau, le tourment / l’avant et l’après / faire quoi pour empêcher le pire / écrire / dire / joindre / écrire à tous nos proches, tous nos contacts/ un courriel / un simple mail / votez, votez, votez / pour nos libertés / ils savent mais / ici et maintenant /
ce tourment comme il me parle ! Merci Ugo
Comme il me parle aussi et même depuis je vide un cendrier … merci pour les lumières du monde dérangé et ces brèves essentielles
mais, tu vois, c’est donc tout ce qu’il nous reste… (mais oui, bien sûr)(merci)
mais, tu vois, c’est donc tout ce qu’il nous reste… (mais oui, bien sûr)(merci)
tout le début idem… juste le votez que non (nous nous aimons mais j’a
tout le début idem… juste le votez que non (nous nous aimons mais j’ai fait sécession, ne nous retrouvons que sur un refus…pardon mauvais jour pour les mains)
Merci Françoise, Nathalie, Brigitte, Piero. Pour nos libertés, oui. Mais pas que…
Ces petits riens qui précèdent l’écriture, l’invite à, l’interrompt.
* l’invitent, l’interrompent
Texte découvert et lu dimanche 30 juin à 16h50. Merci Ugo.