‘J’vais au corps il dit : il pousse sa matière devant lui qui roule et n’amasse du vent, masse les intestins, et,, mort qui vive, hourra sur le baudet, va que j’ te rjoins, tout ça un souffle ! Bide avant, fibres arrière, des ailes pour les mouches : paré à percuter. Bien sûr tri au flanc, passage d âme, nécessités ombreuses. temps qu’t y penses, déjà presq’échu. Mais là roule toujours et bosses en glaise, tu l’ savais, ça t’ étripe un chouille. Mais tu galvanises et vises à gaillard un peu sur tes droites, histoire de, qu on pense pas . Tope-là bande, et exploire la gite, fendrevent ! Tu dégringoules tout bon, t’es du vif . ‘Crase tout : La vie en rosse , a xist pas ! Ferraille et grouille, allez la viande ! Tripes sorties, qu’ça dégueule, t e’s en bon plan