Mollo, l’écriture, vas-y doucement. Pas vu la Seine depuis quatre-cent-soixante-dix-sept jours, trop loin. Retour brutal, risque de trop-plein. Cent mots, un tous les quatre jours. Se pencher sur Gullfoss, apprécier l’eau frémissante d’un thé en terrasse avec un livre, échanger des sourires sous un parapluie, traverser la mer, des rêves mouillés. Pourtant le Landion coulait, les alchémilles accueillaient la rosée, le calme revenait toujours après l’orage, la lune maîtrisait encore les vagues, il suffisait d’attendre. Mais pas trop, l’océan pourrait déborder. Un café, avec un verre d’eau, s’il vous plaît. Vous avez le journal ? Et un crayon ? Un carnet peut-être ?
J’aime. Un peu court comme commentaire mais clair. Comme de l’eau de roche ?
Merci.
moi aussi (appris Gullfoss – deux l deux s donc – inconnues islandaises donc oui)
Merci.