cherchant une maison lacunaire c’est une maison complète qui s’impose à mon esprit, avec un souvenir étonnamment précis de la disposition des chambres, des craquements de l’escalier en bois, du soleil dans la cuisine, du gravier dans les allées du jardin, de toute la maison où j’allais de temps à autre dans mon enfance, et souvenirs aussi de quelques moments précieux passés dans cette maison. J’essaie de l’écarter elle insiste, j’essaie de la flouter, elle résiste… Que faire ? on peut inventer des mémoires mais peut-on inventer des oublis ?
écrire celle-là et peut être comme l’arbre cache la forêt elle cache une lacunaire
oui, c’est ce que je vais essayer de faire et peut-être qu’une lacunaire émergera. Merci Catherine pour votre visite et votre suggestion
L’idée d’inventer des oublis est très intéressante !
Merci Jean pour votre commentaire encourageant. Reste à trouver comment inventer des oublis… à suivre.
J’aime cette idée d’une maison qui s’impose, qui prend toute la place, qui ne se laisse pas contourner. Refus du narrateur qui va en réaction arrêter son texte. Merci
Merci pour votre visite Anne et pour votre commentaire. Je crois que finalement le narrateur va se soumettre à la force de cette maison, on verra bien ce qui se passe…
J’ai aimé être surprise par votre texte. Votre affaire d’invention d’oublis me semble en effet bien féconde … Ressurgira peut-être dans un autre texte ?
Merci Déneb pour votre appréciation… je vais essayer de poursuivre dans cette voie…
Cette idée d’inventer des oublié est en effet intéressante. Et si elle n’est finalement pas exploitée, elle constitue une très belle chute !