Enfance misérable dans les orphelinats et les rues de Londres, déductions et puissance de la réflexion en marchant dans une rue de Paris du 19e siècle, bocks, on n’est pas sérieux quand on a 17 ans, des noms oubliés de villes interstellaires de science-fiction, boulots insignifiants et rage de vivre dans le maelstrom new-yorkais, Villa Seurat, une bicyclette traverse la Seine à Paris, les chocs des cailloux remontent dans la colonne vertébrale, une imprimerie dans une péniche, un millier de rues sauvages et désertes, boulots, chiottes d’usine, promiscuité des logements et terrains vagues, un gone de Lyon se saisit à son tour de la rage de lire et d’écrire, une voiture tourne avec ses habitudes et se laisse glisser tout phare éteint dans le garage de la maison d’une banlieue résidentielle américaine, aller-retours sur le périphérique parisien, des trains partent et reviennent de Chicago où passer l’hiver, le Wild West Show débarque à Marseille.
Bonsoir Laurent
Super suite de souvenirs livresques.
Qu’on reconnaisse ou pas les livres, c’est un bouquet de sensations.
Merci !
Le dernier est encore sur ma liste de lecture, À la grâce de Marseille de James Welch
immense richesse de cette liste. Merci