Scruter, balayer la vallée dans un sens puis dans l’autre, improviser une visière, main sur le front, la maison rapetissée, coulée – marcher plus loin au-dessus du lit végétal, de la couverture de feuillus, passée l’amitié des branchages de hêtres : roche à vif, brûlante, coupante sous les semelles puis grande cuillérée d’eau vert sombre à jamais rase : le lac. |
![](https://www.tierslivre.net/ateliers/wp-content/uploads/2022/06/IMG20200719144621-1024x768.jpg)
Bonjour Nolwenn,
le zoom instantané de la cuillère d’eau au lac, whaou !
Merci Catherine ! Je me suis aperçue en écoutant la vidéo que je n’avais pas respecté d’écrire une seule phrase. J’ai raboté, et en dernier clic, je suis passée à l’infinitif.
impec, content que ça ait marché !
Oui, c’est tout bon maintenant. 🙂
On est bien dans la cuillère d’eau
On est tout en haut. Quel bol d’air. Merci.
Versant, … mais ce serait bien dommage de la renverser, cette cuillère-là !