au bout de l’allée, entre un figuier qui n’a que des feuilles et un mur de vignes et de chèvrefeuilles emmêlées, le mur de pierres finissant dans l’eau du bassin, elle est là sur le rebord où le soleil est encore, dans le silence d’après le bain.
Voix off : l’arbuste est devenu arbre, rituelle la caresse à son écorce, il fait nuit à présent, dix marches à monter, trois syllabes murmurées, le grand W de Cassiopée invente un autre murmure, dix marches sans descendre jamais, Ca-ssio-pée, ton murmure en échos.
Dans le silence d’après le bain on se laisse envoûter par cette voix off et cette disdascalie, comme un poème. Merci Ugo !