dans ta main, le très gros plan de l’un de tes yeux, ton attente que nos caméras soient éteintes, ton sourire malin à décrire ce que tu vois dans l’œil de toi, vieil homme aux cheveux blancs qui va mourir. je bois le vin que tu nous offres. je veux suivre avec toi les fils d’un tissus de Rembrandt, comprendre où le trait s’arrête, apprivoiser et libérer nos gestes. L’immense toile derrière toi où tes brosses à bout de bras déchirent le jaune.
» Dans l’œil de toi. » J’aime cette expression ouverte sur ce texte beau et énigmatique.
Merci Ugo pour le voyage. .
L’œil dans la main , l’œil de toi n’est rien sans ta main . L’œil et la main du peintre aux fils de soies des lumières de Rembrandt et « déchirer le jaune « . Quel très beau texte qui donne envie de peindre . Merci Ugo
oh que je l’aime… et qu’il va m’aider à finir de regarder l’image de mon toi;.. sont pas si loin il me semble… Vais tenter votre concision efficace en reprenant mon texte ce soir. (et bien sûr en reterai loin… sommes ainsi) Merci encore une fois Ugo
Merci Marie, Brigitte
Merci Nathalie.
une envie de mélanger pigments et medium, oui.