J’emprunte le même chemin du lundi au vendredi toujours à la même heure, je presse le pas car je ne suis jamais en avance. Je passe devant ce portail où le chien aboie, il me fait sortir de mes songes et je reviens à la réalité, « je pourrais tout de même partir plus tôt ! ça m’éviterait de courir… ». Toujours la même pensée, toujours au même moment. Il y a des choses qui ne changent pas ! Le long mur bordé de mimosas odorants est toujours là lui aussi. Il est dix-sept heure quinze j’arrive au bout de ma course, ma fille me sourit depuis la cour de récréation.
J’emprunte le même chemin du lundi au vendredi toujours à la même heure, je presse le pas car je ne suis jamais en avance. Je passe devant ce portail où le chien aboie, il me fait sortir de mes songes et je reviens à la réalité, « je pourrais tout de même partir plus tôt ! ça m’éviterait de courir… ». Toujours la même pensée, toujours au même moment. Il y a des choses qui ne changent pas ! Le long mur bordé de mimosas odorants est toujours là lui aussi. Il est dix-sept heure quinze j’arrive au bout de ma course, mon fils me sourit depuis la cour de récréation.