Des tas de sable durs en collines au milieu de résidences en parpaings avec crépis selon l’état des finitions; 4 résidences au milieu d’autres résidences en haut d’une bosse et au pied d’une plus grande bosse elle même au pied d’une petite montagne dont l’antenne transmet des ondes à toute la ville de l’autre côté, plus dense en bas et mélangée aux arbres pins dans la périphérie bosselée puis la grande vallée plaine là, les contreforts des grands massifs ici et la ligne de la mer qui arrête la ville par le bas; la mer infinie ne l’est pas en réalité et on en voit le contour rassurant, la mer devenant centre attirant l’oeil davantage que la masse de montagnes de l’autre côté. Eblouissement de cette tâche perdue maintenant au milieu d’un environnement beaucoup plus vaste et prédominant d’océans et je ne sais pas comment tout ça finit ni comment l’arrêter.
Bonjour Emmanuel
Oui, ton zoom arrière est infini !
Merci pour ce beau texte.
Merci bien Fil
n’arrêtez pas surtout!
Merci beaucoup