Une nouvelle espèce au loin, des femmes guerrières, armes pointées vers l’invisible mâle qui rongent les corps. A procréer, au service, à dépuceler, au service, à quatre pattes. Des os à rincer pour pitance, leurs progénitures à l’école mort, une vie à détruire l’idéologie crâne, s’ils reviennent, quand ils reviennent. Des foulards colorés des peaux bronzées, sœurs fusils, sœurs kalash sœurs face barbe unissent les peaux et chantent dans le soir pour courage.
Un défilé d’ombres noires, fantômes avant mort, les yeux pourtant, toutes couleurs face terre, rayent le sol, obéissance dit l’homme, elle qui croyait servir l’idéal sert de paradis terrestre corps.
Et puis des enfants sont vendus. Il faut bien vivre dit un père. Depuis qu’ils envahissent les revenus s’épuisent, un corps de fillette servira à manger. Au plus offrant, je ne voulais pas dit le père. Je ne suis pas fier. La fillette pleure mais elle ira. Déflorer à peine corps pubère. Je ne suis pas fier dit le père. La survie mérite elle sévices ?Et si fuir seule solution ?
Apparition d’une nouvelle espèce_Tout ce défilé d’ombre_Fuir est la seule solution.
Quel choc. Oui, c’est ça la guerre…tu as des mots coupants forts. Fuir, en 2022, mais où ?
Je crois que c’est tout le probleme de ceux qui ne comprennent pas que d’autres fuient par tout moyens meme mourir noyé parfois vaut mieux alors ils tentent. Finir sous chapelle , dans la mer ou esclave… Souvent le monde m’englouti.
texte de révolte ou de peur sur ce monde impitoyable. Saisissant et effrayant. Merci