La chaleur me ramène les degrés toujours plus haut les vêtements en moins moite en ce mois de juillet. Le train défile les paysages devenus miens les gares du sud. Je suis d’ici à présent. Peut-être y étais déjà dès la naissance d’une arrière-grand-mère dans la grand rue du village. La chaleur souffle ma peau et lui dis le retour. Une petite gare. Le départ sur unquai l’arrivée sur l’autre toujours le même. Une petite gare dit c’est ici. De retour. La voiture m’attend et me conduis je prends chaque rond-point chaquefeu virages familiers me rapproche les villages traversés. Un peu d’eux puis là la nature abrite mon corps et famille les arbres les cigales je suis chez moi.Le portail vert l’allée et ma porte. L’odeur familière le bazar familier mesdoigts frôlent les meubles un temps suspendu être sur du bon endroit avant soulagement. Le creux de mes fesses sur le canapé mon coussin dos. Je m’aperçois respirermieux plus facilement les poumons s’ouvrent je peux lâcher vigilance, j’y suis.
Un coin à soi un abri des murs et un toit épouse un corps et protège. La première fois que je foule un lieu, qui-vive l’œil observateur. Il faut apprivoiser les recoins l’autour contourner les angles apprendre la sensationdu pied nu sur les sols seul le pied dit je te reconnais ton espace est tien d’abordl e pied dénudé épouse les matières ensuite le cerveau dit tu peux t’exposer. Repos.
Plusieurs chez soi parfois éphémères jalonnent parfois lointain le seuldéterminant le pied qui repose nu ancrage.
« le pied qui repose nu ancrage. »
belle conclusion
merci
Merci Danielle de me lire et commenter. 🙂