Au bout du parcours, j’ai éprouvé le besoin de rassembler la bibliothèque de l’atelier. Exercice de copier-coller. Merci François pour tout ça !
Bibliographie
Jacques Abeille, Le Veilleur du jour / Les Jardins statuaires (Le Tripode, 2015 / 2016)
Samuel Beckett, Comment c’est (1961) / Le Dépeupleur (1970)
Walter Benjamin, Sens unique / Enfance berlinoise / Paris, capitale du XIXe siècle, et l’édition française qui choisit pour titre Le livre des passages
François Bon, La Ville, 31 + 1 FRAGMENTS (Anthologie, PDF)
Michel Butor, Mobile (Gallimard, 1962)
Italo Calvino, Villes invisibles (1972)
Arnaud Cathrine, J’entends des regards que vous croyez muets (2019)
Anne-James Chaton, Elle regarde passer les gens (2016)
Claude Closky, Mon catalogue (1999)
Charles Coustille, Parking Péguy (2019)
Guy Debord, Projets d’embellissement (Revue Potlatch, 1956)
Marguerite Duras, L’été 80 (1980)
Kenneth Goldsmith, New York, capitale du XXe siècle (2015)
Hermann Hesse, Le Loup des steppes (1927)
Jean-Paul Goux, L’Embardée (Acte Sud, 1995)
Olivier Hodasava, Éclats d’Amérique (Inculte, 2016)
Franz Kafka, Récits et fragments narratifs, « La Détresse » / Hans et Amalia / Les Armes de la ville, « Dans notre ville, on bâtit continuellement »
Patrick Kermann, La Mastication des morts (1999)
Édouard Levé, Amérique (2006)
H.P. Lovecraft, La Ville sans nom (1921)
Antonio Muñoz Molina, Un promeneur solitaire dans la foule (Seuil, 2020, traduction Isabelle Gugnon)
Valère Novarina, Le Discours aux animaux (1987)
Yves Pagès, Portraits crachés (2013)
Georges Perec, Espèces d’espaces (1974) / La Vie mode d’emploi (1978)
Emmanuelle Pireyre, Comment faire disparaître la Terre (Seuil, 2006) / Féérie générale (2012)
Régine Robin, Mégapolis (Stock, 2009)
Jean Rolin, Le Pont de Bezons (POL, 2020)
Jacques Roubaud, La forme d’une ville change plus vite, hélas, que le cœur des humains (1999)
Jean-Jacques Salgon, Les sources du Nil (2005)
Nathalie Sarraute, Tu ne t’aimes pas (Gallimard, 1990)
Claude Simon, Le Jardin des Plantes (1997)
Taryn Simon, An american Index of the hidden and the unfamiliar (2007)
Gilbert Simondon, Imagination et invention (cours de 1965-1966, PUF 2008)
Fabienne Swiatly, Elles sont au service (Bruno Doucey, 2020)
Christophe Tarkos, « Le Parpaing » / Anachronisme (2001) / Le Kilo (POL, 2022) / Donne (Al Dante, 2000 dans le coffret intitulé Ma langue)
Cécile Wajsbrot, Nevermore (Le bruit du temps, 2021)
Bertrand Westphal, Le monde plausible, Espace, lieu, carte (Minuit, 2011)
Filmographie / Photographie / Performances
Viktor Kossakovski, Tishe
Régis Perray (artiste plasticien)
Bruno Serralongue (photographe)
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#40jours | prologue, du caché et du singulier
Taryn Simon, An american Index of the hidden and the unfamiliar : un grand rectangle image, préparée, éclairées, cadrée, mais qui ne révèle rien sans l’explication qu’elle nous en fournit ; et puis le texte qui accompagne, purement documentaire, chaque fois — c’est-à-dire 62 fois — en prise avec une symbolique particulière des inquiétudes, des paradoxes ou des limites de notre civilisation au présent
#40jours #01 | zoom arrière
Georges Perec, Espèces d’espaces (1974)
#40jours #02 | la façade enlevée
Georges Perec, Espèces d’espaces (1974) / La Vie mode d’emploi (1978)
#40jours #03 | parking Péguy trois fois
Michel Butor, Mobile (Gallimard, 1962)
Charles Coustille, Parking Péguy (2019)
Olivier Hodasava, Éclats d’Amérique (Inculte, 2016) : il utilise les images collectées arbitrairement (et recensées dans son site Dreamlands Virtual Tour tout entier basé sur des explorations Google Street View (ou Yandex pour l’Est)) pour reconstruire un voyage fictionnel en Amérique
Édouard Levé, Amérique (2006) : partant à la rencontre (Montpellier, Paris Texas, mais il y a aussi Berlin, Syracuse, Nantes et d’autres) de villes américaines ayant conservé l’homonymie avec telle ville d’Europe
#40jours #04 | sols glissants
#40jours #05 | caméra tournante : intérieurs vue 360
Chantal Akerman, La chambre (1972, 10’30) où une caméra balaye en cinq aller-retours successifs un espace clos fermé, mais chaque fois surprenant dans son mouvement un personnage invisible le reste du balayage
Jean-Paul Goux, L’Embardée (Acte Sud, 1995)
#40jours #06 | plans, cartes et guides
Walter Benjamin, Sens unique
Bertrand Westphal, Le monde plausible, Espace, lieu, carte (Minuit, 2011)
#40jours #07 | descendre, descendre et descendre
Rabelais quand on descend dans le corps du géant
Victor Hugo, Les Misérables : quand Jean Valjean descend dans les égouts (ou Gavroche habitant dans le ventre de l’éléphant dressé à la Bastille),
Edgar Poe
Jules Verne
Lovecraft quand, dans le train d’Albany à Québec, il a dans son compartiment un médecin français aveuglé par des gaz pendant la Première Guerre, et qui enfant a connu pour de vrai Jules Verne… chez lui : Les Indes noires, Voyage au centre de la Terre et d’autres…) ces labyrinthes urbains souterrains vont proliférer le plus complexe : Dans l’abîme du temps,
– le plus connu : Montagnes de la folie,
-le plus emblématique : L’étranger / The Outsider,
-et parfois sans connotation ville, comme Les rats dans les murs
-récit relativement bref, au format le plus habituel du magazine Weird Tales : La ville sans nom
#40jours #08 | Régine Robin protocole terminus
Régine Robin, Mégapolis (Stock, 2009). Sous-titre : « Vers une poétique des mégapoles » : portant sur une suite de villes comme New York, Montréal, Tokyo, Los Angeles, Berlin, Buenos-Aires, enfin Londres, la regrettée Régine Robin consacre une dizaine de pages à une expérience singulière : prendre chaque ligne du métro londonien, aller jusqu’au terminus — soit en général une heure de trajet —, sortir et décrire ce qui l’entoure, que bien sûr elle ne connaît pas, ce dont elle n’a aucune idée préalable ; elle reste quelques dizaines de minutes, bistrot ou resto, mall ou simple déambulation, et elle reprend le métro qui l’a amenée : quelle compréhension de la ville peut en découler, en quoi cette expérience déplace, contredit ou complète son savoir de la ville, en quoi l’accumulation de ces bulles fragmentaires, leur série arbitrairement constituée, fabrique une image de la mégapole moins centrée sur la longue histoire culturelle de la ville, et sa sédimentation géographique ?
Laure Humbel, Piétonne de Marseille : sortir du métro, à n’importe quel arrêt au long d’une des lignes, descendre du bus, n’importe quelle ligne et n’importe quel arrêt, se reconstruit ainsi une ville par ensembles complets mais discontinus
#40jours #09 | portraits arrachés à la ville flux
Arnaud Cathrine, J’entends des regards que vous croyez muets (2019)
Yves Pagès, Portraits crachés (2013)
Dans les deux cas, Cathrine ou Pagès partent de corps, visages, situations saisis à même l’espace public, et le reconstituent comme aventure de vie projetée, forcément ou évidemment lacunaire, comme juste serrée dans le poing, avant de passer à une autre
Jacques Roubaud : L’abominable tisonnier de John Mc Taggart Ellis Mc Taggart (sic) qui rassemble, comme une enquête où la ville serait la British Library, exactement 30 vies brèves de penseurs ou de scientifiques, ou de rêveurs mathématiciens
Tallemant des Réaux, Historiettes
#40jours #10 | Jacques Roubaud, du peu de souvenir
Jacques Roubaud, La forme d’une ville change plus vite, hélas, que le cœur des humains (1999) : 154 textes ayant tous pour objets Paris, le plus souvent un lieu précis dans Paris, et proposant donc 154 façons techniques ou codes formels différents pour écrire la ville
#40jours #11 | du mot « perdu » (mais avec Franz Kafka & Jacques Abeille…)
Jacques Abeille, Le Veilleur du jour / Les Jardins statuaires (Le Tripode, 2015 / 2016)
Franz Kafka, Récits et fragments narratifs, « La Détresse »
#40jours #12 | Tarkos #1, disjoindre la ville
Christophe Tarkos, « Le Parpaing »
#40jours #13 | Tarkos #2, une couleur
Christophe Tarkos, Le Kilo (POL, 2022)
#40jours #14 | Tarkos #3, trousseau de clé
Version 1 : Anachronisme, 2001.
Version 2 : Poème d’une enfance, in Le kilo, 2022, écrit en 1996.
Version 3 : sans titre, in Le kilo, 2022, écrit en 1999.
#40jours #15 | Tarkos #4, c’est quoi
Samuel Beckett, Comment c’est (1961)
Christophe Tarkos, Le Kilo (POL, 2022)
#40jours #16 | Cécile Wajsbrot, si j’écrivais non
Cécile Wajsbrot, Nevermore (Le bruit du temps, 2021)
#40jours #17 | Fabienne Swiatly, elles au service
Fabienne Swiatly, Elles sont au service (Bruno Doucey, 2020)
#40jours #18 | rentrer chez soi, avec Jean Rolin
Jean Rolin, Le Pont de Bezons (POL, 2020) : il utilise ces récurrences (une trentaine de lieux au long de la Seine, mais il consacre quatre ans à y revenir régulièrement, et chaque chapitre est la somme de ces retours), mais surtout parce que, si on compare à un de ses livres majeurs, Zones (POL, 1996), on ne peut qu’être admiratif de comment, à mesure du temps –– 25 ans, quand même… — la «rhétorique», les «je», les temps verbaux, les repérages spatiaux non pas s’effacent mais se diluent, se font transparents, et par contre c’est la suite des instantanés urbains qui fabrique le voyage
Jean Rolin, Savannah : revenir après décès suivre exactement les traces, lieux, itinéraires, visites, d’un voyage fait avec la disparue, dix ans plus tôt, jusqu’à la maison de Flannery O’Connor, encore un retour, sinon que le narrateur est seul pour suivre les deux fantômes…
Georges Perec, Espèces d’espaces (1974) : le chapitre sur la ville est divisé en séquences, dont la 5ème porte le titre « Villes étrangères » et s’appuie sur les premiers instants de découverte d’une ville, ne serait-ce que par la navette qui vous mène de l’aéroport au centre-ville, Londres en l’occurrence — là, le trajet n’est plus celui d’un point A à un point B indifférenciés, mais une orientation, de la périphérie au centre
Partir d’un point central et aller aux limites extérieures :
Jean-Jacques Salgon, Aux sources du Nil
Claude Simon, Le Jardin des plantes : où il note tout ce que perçu depuis un train qui quitte la gare de l’Est
#40jours #19 | là pour attendre, Beckett aussi
Samuel Beckett, Le Dépeupleur (1970)
#40jours #20 | donne (un au-revoir Tarkos)
Tarkos, Donne (Al Dante, 2000 dans le coffret intitulé Ma langue)
#40jours #21 | agir sur le réel pour changer le récit
Guy Debord, Projets d’embellissement (Revue Potlatch, 1956)
Edouard Levé, Œuvres
#40jours #22 | Tishe ! où le temps tremble en vrai
Marguerite Duras, L’été 80
Viktor Kossakovski, Tishe
#40jours #23 | quand Zbigniew s’en va tout droit
Jean-Jacques Salgon, Les sources du Nil (2005): partant d’une écluse construite par Colbert à l’embouchure du Vieux Port de La Rochelle, Jean-Jacques Salgon, qui y enseigne sans y vivre, décide de remonter mètre à mètre ce minuscule cours d’eau qui prend source au bord extrême de la ville, de l’autre côté de La Rocade.
Claude Simon, Jardin des Plantes (1997) : la notation quasi en temps réel de ce qu’on aperçoit linéairement par la vitre lorsqu’un train quitte la gare de l’Est
Zbigniew Rybczyński, Tango / Imagine / I can’t stop : avec la bande-son remplie de cris et d’étranges craquements, pourrait faire qu’on le prenne pour une parodie des archétypes du film d’horreur
#40jours #24 | la donnée mode de visualisation du réel
Urbain Trop Urbain, l’expérience Periph’Strip menée par leur collectif, fondé par Mathieu Duperrex et Claire Dutrait. Cette expérience a fait l’objet d’un livre publié chez Wild Project. Perpetuum Mobile : anneau qui enserre la ville traversé de l’ensemble des flux de données qui irrigue la ville. Sa propre régulation est aussi un ensemble matériel de flux de données, un des exemples étant ces milliers de « boucles électro-statiques » insérées dans le bitume, ou le lieu de commande centralisé des caméras de surveillance, les panneaux d’information et ainsi de suite…
l’appel à communication du colloque Fictions & données, rédigé par Anaïs Guilet, Gilles Bonnet et Bertrand Gervais : en quoi et comment cette expansion massive et exponentielle des données peut générer des tentatives fictionnelles, et lesquelles déjà sont repérables ?
#40jours #25 | le visiteur du lendemain
Bruno Serralongue : d’octobre 1993 à avril 1995, soit dix-huit mois, Bruno Serralongue parcourt un quotidien régional de la ville où alors il réside : Nice Matin. À cinquante-et-une reprise, il se rend sur les lieux d’un fait divers dont il est rendu compte dans le journal. À quatre exceptions près, alors que rien de plus facile que retrouver le cadre exact du fait divers, aucune trace. Et c’est cette absence de trace qu’il photographie : non pas en tant que trace manquante, mais en tant que l’arbitraire du réel le plus ordinaire, où rien ne prévient d’aucune tragédie possible, et la tragédie même ne laissera pas marque visible.
Anne-James Chaton, Elle regarde passer les gens (2016)
#40jours #26 | Perec et l’histoire du tueur de mots
Georges Perec, La vie mode d’emploi (1978)
#40jours #27 | Nathalie Sarraute, fatiguer la question
Nathalie Sarraute, Tu ne t’aimes pas (Gallimard, 1990)
#40jours #28 | Emmanuelle Pireyre s’achète un pull
Emmanuelle Pireyre, Comment faire disparaître la Terre (Seuil, 2006) / Féérie générale (2012)
#40jours #29 | langage et catalogue de la vie mutilée
Claude Closky, Mon catalogue : performance textuelle où l’artiste Claude Closky dresse l’inventaire le plus précis et exhaustif des objets de son domicile, en remplaçant la description par le rédactionnel utilitaire d’un catalogue commercial (ou pour nous d’un site de vente en ligne), et remplaçant la troisième personne ou l’énonciation neutre par une énonciation à la première personne.
Sébastien Bailly : sous forme de la propulsion chaque matin d’une vidéo de moins d’une minute, format carré, sur l’ensemble des réseaux sociaux, où le défi annoncé c’est de reprendre sur 365 jours les 365 objets disponibles du catalogue en ligne de la marque LIDL, et d’y associer un prénom : l’objet devenant par cela même l’embrigadement et la sculpture du personnage lié.
#40jours #30 | roman, fractionnement et expansion
Antonio Muñoz Molina, Un promeneur solitaire dans la foule (Seuil, 2020, traduction Isabelle Gugnon) : entre 700 et 800 blocs paragraphes indépendants, dont la première phrase est imprimée en gras, avec un artifice typographique supplémentaire : tous les mots commencent par une majuscule. Donc rien qui sépare syntaxiquement ni typographiquement cette première phrase du bloc, celle imprimée en gras, du bloc lui-même. Mais elle fonctionne quand même, annonce ou proclamation, définition du champ ou de la visée, comme le titre qu’elle n’est pas.
#40jours #31 | la ville, film muet et inventé
Gilbert Simondon, Imagination et invention (cours de 1965-1966, PUF 2008)
#40jours #32 | la ville, bibliothèque intérieure
François Bon, La Ville, 31 + 1 FRAGMENTS (Anthologie, PDF)
#40jours #33 | inquiétude, effroi
#40jours #34 | ce n’était pas réel
Kafka, Hans et Amalia
#40jours #35 | dans cette ville, on bâtit continuellement
Kafka, Les Armes de la ville, « Dans notre ville, on bâtit continuellement »
#40jours #36 | Novarina, Kerman, aux morts
Italo Calvino, Villes invisibles (1972), série Villes des morts : une des scansions, avec les villes verticales, les villes circulaires, les villes et le désir, les villes et le regard.
Valère Novarina, Le Discours aux animaux (1987) : un des narrateurs non définis de Valère Novarina traverse un grand cimetière urbain, lis et réinvente les épigraphes, et s’adresse directement aux morts que cette épitaphe recouvre.
Patrick Kermann, La Mastication des morts (1999) : Patrick Kermann revient dans le cimetière de son village d’enfance, où chaque nom résonne, où chaque allusion est une histoire. Dans ce livre qu’on est quelques-uns à considérer comme culte, ce sont les morts eux-mêmes qui prononcent, mais quoi ? leur éloge ? il serait faux. Leur portrait ? Il est déformé, lacunaire. Parfois une protestation. Parfois un simple aphotegme. Parfois à la première personne, parfois leur biographie emballée de façon plus neutre.
#40jours #37 | pèlerinages
Maxime Du Camp et Gustave Flaubert, Par les champs et par les grèves : tous deux se retrouvent à visiter le Combourg de Chateaubriand, sauf que tout y est à l’abandon…
Flaubert à Combourg : fac-simile p 282 et fac simile p 283
#40jours #38 | frontières
Georges Perec, Espèces d’espaces (1974)
Hermann Hesse, Le Loup des steppes (1927)
#40jours #39 | retour enfance, Walter Benjamin
Walter Benjamin, Sens unique et Enfance berlinoise
#40jours #40 | faire sa capitale avec Kenneth Goldsmith
Walter Benjamin, Paris, capitale du XIXe siècle, et l’édition française qui choisit pour titre Le livre des passages : ce chantier de Walter Benjamin (milliers de notes recopiées dans les « éphémères » de la Bibliothèque nationale, et laissées en français, de 1935 à 1940, sauvées grâce à Georges Bataille), est une rupture si décisive dans l’imaginaire d’aujourd’hui, urbain mais surtout littéraire en général, c’est pour l’arborescence qui se saisit de l’invisible complexité du réel et la redistribue autrement
Kenneth Goldsmith, New York, capitale du XXe siècle (2015)
Et à lire cela, on se dit : quel boulot !
Génial! Cela permet de retrouver des textes qui sinon sont vite oubliés.
Grand merci pour tout ce travail qui n’est pas que du copier-coller. Plus qu’à réviser car des textes avaient déjà été oubliés
Très important travail, très précieux. Bravo et grand merci.
bravo (quel boulot…) (et merci) !!
Génial ! On aurait dû en rêver, et c’est déjà fait : la liste pour le père Noël
Précieuse liste, merci Emilie,
bel août
Merci beaucoup, c’est très précieux en effet.
Quel travail, mais si bien fait ! Merci de ce partage !