
Ici, il y avait un arbre. Et dans cet arbre, un homme. Je ne l’ai pas connu, mais je ne peux passer devant ce mastodonte de ciment, à l’angle du boulevard Flammarion et de la rue d’Isoard, sans penser à cet homme (…) Je ne sais pas quel nom est inscrit sur les papiers d’identité de cet homme. Peut-être Côme Laverse du Rondeau*, comme le Baron Perché d’Italo Calvino (…)
Le texte initialement publié ici a trouvé sa place dans Une piétonne à Marseille aux éditions David Gaussen.
*Traduction du nom de Cosimo Piovasco di Rondò proposée par Juliette Bertrand dans l'édition française au Seuil.
Beau sujet. Déconstructivisme c’est ça.
Merci pour le commentaire et la confirmation !
trop bien situé pour ne pas attirer les rapces.