L’atlas routier bien-sûr avec sa grosse spirale, la couverture qui pend mais que tu ne finis pas d’arracher, tu la recoinces dans chaque tour de spirale. Il est très complet cet atlas mais en cours de route quand tu dois quitter une page pour voir la suite… Les cartes par région elles te montrent du plus vaste, tu as une vue d’ensemble. Mais dans ta voiture, impossible de la laisser ouverte en entier. Alors tu la plies mais à la longue ça finit par se déchirer et ce que tu cherches est tombé dans un trou et ça même sur les cartes vendues comme indéchirables. Cela met plus de temps c’est tout. Et puis quand le morceau plié n’est plus sur ta route, tu essaies maladroitement car tu ne veux pas lâcher la route et il vaut mieux, de retourner mais il faudrait la redéplier pour avoir un visuel adapté à la portion de route où tu te trouves. Là tu choisis soit tu te passes de cartes et tu roules au feeling et cela peut donner de belles surprises soit tu t’arrêtes, tu te reposes et en profites pour déplier soigneusement la carte et la replier comme nécessaire. Tu peux même noter sur un post-it les grandes directions à suivre.
La carte dessinée sur le plateau de jeu Risk où on essaie de conquérir des territoires et de les conserver. Ne pas oublier que l’Alaska est considéré adjacent au Kamchatka et par conséquent peut l’attaquer et vice versa.
Cartes à jouer, une belote par-ci, un tarot par-là, guide d’époques et d’évènements.
Cartes divinatoires, tarot de Marseille, Rider-Waite-Smith et oracles divers. Il y en a de très beaux semblables à des œuvres d’art, des symboliques et ces cartes peuvent vous emmener dans un voyage intérieur.
Le plan du métro parisien qui me permet de me repérer dans la capitale sans même y descendre.
Le plan des villes où l’on réside, pour faire connaissance avec la structure du réseau routier, avec les quartiers, les transports en commun.