Me suis fabriqué un sol de papier par dessus le vrai sol.
Je découvre que c’est plutôt le soir avant de dormir que je suis plus inspiree. Ma créativité trouve enfin preneur. C’est comme si des dizaines de portes se matérialisaient pour me permettre de developper chaque idée qui surgit de ma tête. Ecrire leur permet de s’échapper. Ma plume les attrape et les couche sur le papier.
J’ai décidé de séparer puis de coller mes photos sur un papier qui fait un joli bruit quand on le plie et le déplie. J’écris, trouve d’autres idées. Je m’invente d’autres exercices. Tel un chat qui découvre un nouveau carton et s’en amuse, je prend mon bout de papier, mes photos et mes mots et je leur trouve d’autres usages, d’autres destinations.
On dirait qu’il y a vraiment un trou sous la grille posée sur ce papier. Et si un monde caché se trouvait juste en dessous ? Vous risqueriez vous à boire la boisson d’Alice pour le découvrir ?
Et si je tapais avec mes baguettes sur ces différents sol, quels sons entendrais-je ? J’ai envie de retourner sur place pour enregistrer les sons qu’ils produisent. Ensuite je recomposerai ces photos en fonction des sons entendus, pour en faire une batterie urbaine.
Ton idée est géniale! (J’ai balbutié dans mon texte ce principe des sons que produisent les sols sous des pas mais tu vas plus grand) j’adore!!
Merci ! Ravie que cela te plaise ! Je crois que je n’ai pas fini d’explorer tout ce que je pourrais faire avec ces photos et ces sons ! ça m’inspire beaucoup ! Je vais aller lire ton texte !
Quelle beauté ces photos de sols sur ce papier marron avec les mots manuscrits. J’adore. Votre initiative éveille d’autres envies… Merci. Et la grille, je croyais vraiment que c’était une grille… Reste à écrire votre monde dessous.
Merci Anne, je suis ravie de savoir que ma production vous inspire. Cet atelier est merveilleux.
Bonjour Sadrine,
Idée magnifique et réalisation qui fait envie, de se mettre pieds nus, de tendre l’oreille, un vai filon !
je pense que je vais revenir sur ce texte pour l’augmenter du son de chaque élément retenu 😉 Ce qui est interessant, c’est qu’au delà des 40 jours, on pourra continuer à travailler toutes nos propositions pour les enrichir. Mais il faudra bien trouver un moment pour dire qu’enfin on n’y touche plus.
Oui! j’ai même envie d’y poser le pied. Quelle belle idée, Merci Sandrine
🙂
WOW. Très impressionné par l’idée jusqu’au-boutiste : de quelque chose de très concret (ce grand papier fourmillant d’idées), on peut replonger dans la création. Encore et encore. Comme une nouvelle porte qui ouvre sur une autre. Et ainsi de suite.
Et peut-être qu’un jour, dans ton exploration, tu finiras pas retomber sur ton sol de départ, le vrai (qui était peut-être devenu le « faux » et avait momentanément disparu de ton esprit), et ce sera un beau choc sensoriel !
Oui, c’est ça. J’aime l’idée de travailler et de retravailler la matière initaiale ainsi, cette idée de création inachevée. Work in progress !
Intriguée et intéressée aussi par la méthode Il me tarde de voir et d’entrendre la suite. Merci !
🙂 Je vais avoir l’air maline avec mes baguettes à taper sur ma grille et mes bouches d’égout, mais j’assume !
Ah oui, effectivemment…j’adore l’idée. Je pique pour quand j’aurais un peu de temps, mouahaha, j’avais un truc parallèle dans un univers tangenté… Merci du partage!
Merci à vous d’être passé par là !
Oui, Sandrine, ton idée est très musicale, autant que magnifiquement visuelle.
Bravo !
J’aime beaucoup
Merci !