…je m’approche des doigts, délicate si peux, égarée entre leurs formes, nos mains confondues comme se mélangent les visages, silence amoureux. les façades comme seuils étendus, peaux de vie. de silence, comme secrets de famille. je m’enroule de lenteur, patience de rêves humains. deviner la vie animale qui hante leurs pierres (extrait)
Formidable agencement d’images et de mots. Tout se passe devant la façade et non derrière. Merci pour ce moment de lecture visuelle et auditive.
Merci Marie-Thérèse !
C’est absolument magnifique, superposition visuelle sonore poétique. Admirative. Un grand merci.
oh, merci
touchée
merci d’avoir inséré aussi la YouTube, c’est le chantier le plus central…
merci à toi François, pour tout ce que ça impulse !