depuis que grande… enfant, elle aimait y esquisser son prénom, suivi d’un cœur ; doigt bruni de poussière, fière de se voir désignée, seules lignes propres de la surface, comme rescapée. depuis qu’adulte… elle a cessé de s’amuser de ces palimpsestes, aucune façade n’accueillera mots ni dessin. elle veille, nettoie, mains cachées. (extrait)
Magistral ! Le palimpseste de la guerre fait taire (presque) tous nos bavardages ! Merci Gracia, de coeur.
oh merci Marie-Thérèse, si touchée
Bonjour Gracia, j’ai regardé la vidéo sans savoir le lien avec atelier, et voulais te dire la voix beaucoup plus narrative, ressentie comme ça, les mots dans l’en avant et moins dans la rêverie ou l’appel de l’un à l’autre (oulalala, j’explique trop mal) bref, ça m’a plu, car d’un coup, tu étais là, jusqte à côté de moi et on allait bavarder,
Catherine, une conversation oui, j’aime tellement cette idée de parler ensemble côte à côte ainsi… immense merci pour cet écho
Deuxième soir de lecture et d’écoute. Deuxième texte. Et de nouveau sidérée par tant de beauté et de sensibilité. Vertige de l’infiniment petit et de l’infiniment grand. De l’infini ordinaire quotidien anodin et de l’infini drame et douleur, dans ces grains de poussière. Face à la destruction si tenace, la poésie envers et contre tout. Merci pour ce portrait de femme. Profondément émue par les mots, les images et la voix. Hâte de vous lire écouter voir encore !
tellement touchée par votre écoute, lecture.
par vos mots, vraiment
merci merci !