Le terminus quand le chauffeur met le moteur à l’arrêt pour 10-15 minutes au bouts des ligne desservant les lycées. Et derrière, une forêt, un hôpital abandonné, un hippodrome, un ensemble pavillonnaire, un nouveau nouveau complexe commercial avec le tout premier mega cinema de l’agglomération pour accéder à des biens culturels de qualité. La ville en question n’est pas mégapole. Au bout des lignes très vite l’orée des bois, le début des petits villes pavillonnaires, le début des petits champs, des petites vignes, des petits coteaux surplombant le fleuve, des petits maraichers. La ville micropole parfois enclavée dans un bout d’un bord de ville dont des espaces de l’ère industrielle émergent. Des passages abandonnés dans lesquels poussent herbes, pissenlits, roses trémières, glaïeuls, ronces, branches d’arbre rampants à travers des fissures créant une scénographie miniature d’un petit monde d’avant.