Refrain—personne—wet bulb globe temperature—Fontaine en moi—inutile—le bal des toupies—au bord de l’océan—effrois dans le dos—loin,très loin—très court métrage—minimale attitude—l’arborescence alibaba—l’achat impossible—jusqu’où—sans en savoir plus—rien que le fait—mardi 24 mai 2022–à vos marques—de pénétrer à vivre—vue mer—lézard day—Samuel m’a tuer—retour ne ment—la chasse—comme à Gravelettres—Micca nomi—quintils pour Lui—votre imagination qui bégaie—soulagement—oxydation—sous l’eau venir—perdition—rancune—petit groupe—canicule, ni tête—espaces épais—Terrier général d’une île—la caméra-valise ou le divan-cercueil—départementale 54– Pierre Semard (1887-1942)—portraits de nous—diagonale—Pétaouchnok
Codicille En relevant la liste des titres choisis durant ces 40 jours, l’espoir de trouver,sinon une cohérence, au moins une trace de liens,s’est très vite révélé décevant. Nulle racine, nul rhizome. Le mot arborescence et le nom d’une ville sans lieu.Pas de quoi capitaliser.
Codicille au codicille Peut-être que le relèvement (relevage) des titres choisis durant ces 40 jours par l’ensemble des participant(e)s serait à même de fournir les bases d’une riche arborescence. Richesse potentielle à explorer qui demande un travail gigantesque. L’établissement de ce corpus concerne en effet tous les auteurs et toutes les auteures de la listes des auteurs. Une fois scrupuleusement établi ce corpus ainsi que l’ensemble des textes correspondants à ces titres pourraient être soumis au Système d’Analyse de Textes par Ordinateur (SATO) développé par François Daoust à l’Université du Québec à Montréal. Pas sûr pour autant que cela nous aide à voir plus clair en nous.
Nota bene au codicille ci-dessus Les mots-clefs doivent faire l’objet d’un corpus supplémentaire indépendamment du corpus des titres. L’analyse de ce corpus-clefs pourrait peut-être en fournir une. Qui sait ?
Trop bien ! Même conclusion !
Merci Helena mais trop gentille. Je pirouette très souvent. Merci aussi de tes textes qui , m’ouvrant des voies, m’ont accompagné durant ce marathon.
je pirouette c’est joli
ugo, ton mot-méthode, diagonale, ne l’oublie pas, il m’a guidé quand à moi ! merci, merci,
Merci Catherine. Pour la diagonale (du fou) je ne sais pas. Tes textes dans tous les cas m’ont très souvent accompagné et permis d’écrire. Merci et à bientôt.
c’est trop bien ( je copie sur Helena) Mais? Trop bien mais quoi ?
40 jours et Rien ?
(rangement codicille méthode classement nomenclature réel … arborescence système d’analyse corpus ) Là c’est vrai j’ai juste le vertige
« Pas sûr pour autant que cela nous aide à voir plus clair en nous. » Peut-être que c’est en dehors qu’y fait un peu plus clair à présent, sinon à quoi bon regarder les lézards.
Mais Ugo pose souvent de très bonnes questions qui remettent face au réel …
Bien d’accord avec vous Nathalie Holt : c’est en dehors qu’il fait plus clair. Merci de vos passages et regards toujours attentifs. Je ne suis pas certain de poser les bonnes questions : elles me servent souvent à m’en sortir par une pirouette. Tous vos écrits par contre -dans les ateliers précédents comme dans ce marathon- ont une force, une authenticité, une vie intense et une exigence que j’admire, toujours avec émotion. Merci de vos écritures Nathalie Holt. Immense merci de vous.
toujours une visite de tes textes à chaque fois, Ugo, même si commentaires pas systématiques
et une pirouette en effet pour conclure ou ouvrir… la question reste posée et il faudra sans doute un peu de temps pour atterrir après ce marathon
il en restera forcément quelque chose même si la cohérence n’est pas apparente…
Je suis sûre que qqn d’autre que toi, même sans SATO pourrait trouver cette cohérence, il faudrait essayer. Pour moi, je me suis méfiée en vieille habituée des cycles de François, j’ai gardé Lissieu pour piste, rien que Lissieu comme fil rouge.
Très belle conclusion/ouverture que tu nous offres là, cher Ugo.
Françoise, Danielle, Xavier merci de vos retours et surtout de vos textes. Dans nos scriptures, toutes personnelles qu’elles soient, notre part collective où l’autre nous autorise, nous ouvre, nous appelle, est grande. Et notre marathon en est un bel exemple. Merci de vous tous et vous toutes. Hâte de vous lire bientôt.
L’émiettement d’un Atelier collectif par les incises, pourquoi pas ? J’ai eu cette tentation à un moment. Relever non les mots clés mais les début de phrase de chaque texte et même paragraphe en les mettant bout à bout pour chaque consigne. Bien sûr le temps a manqué pour restituer. Une sorte de pudding textuel très écologique ? Reste à trouver les images ? Je pire houlette moi aussi quand j’ai envie de sourire. Merci Ugo pour cette vignette bigarrée !
Merci Marie Thérèse pirouettiste. Nos envies de sourire l’emporteront toujours et la preuve du pudding, c’est qu’on le mange. Plus sérieusement, à l’heure de nos numériques écritures et de leurs issues, soumettre nos corpus aux analyses des ordinateurs pourrait être pertinent. Cette idée énerve certains aujourd’hui. Mais dans quelques décennies nos propres corpus passeront peut être dans l’intelligence des computers comme les lettres manuscrites des pays d’en bas, des colons du XIXem, ont été traitées par SATO
http://www.ling.uqam.ca/sato/express/corpus.htm
Oh, les pirouettes d’Ugo… celle-ci est prétexte pour offrir une si parfaite conclusion à l’atelier et en plus en respectant la consigne. Envieuse. Merci, Ugo.
Quelle remarque-conclusion. Je vous l’envie. Merci