Il fait trop chaud pour faire l’amour consentement mutuel contentement partagé dans la nuit sans se toucher les yeux fixés sur le triangle d’été murmurer ton nom à Deneb, Altaïr et Véga Il fait trop chaud pour écrire et si l’étoile n’existait plus à l’instant où sa lumière nous parvient quel sens y aurait-il à écrire que je lui murmure ton nom Il fait trop chaud pour s’élancer sur une piste des mots ouvrent le bal mais la musique est absente l’orchestre est parti la chaleur desaccorde les instruments les musiciens veulent dormir les partitions envolées dansent et nagent dans les nuages Et tout est bien mieux ainsi
… pas tout à fait assez trop pour ne pas écrire quelques lignes vers la nuit et montrer les étoiles. Merci Ugo
Merci Ugo pour ton texte inspirant!
Il fait trop chaud pour ne pas se désaltérer de ces mots. Merci pour cette poésie.