Les odeurs de foin coupé, les couleurs chaleureuses de l’été, l’air de l’océan, les virages en lacets, les villages aux toits rouges, les rangs de vignes quadrillés sur les coteaux, les vagues des champs de blé, le bruit des tracteurs, les kilomètres défilent, le vent siffle, la broderie au coin de la cheminée, les roses trémières, la grosse porte à pousser, les chiens qui aboient, le grenadier, le figuier près du puits, les confitures, les marrons à ramasser, le petit chemin si loin et là tout près la véranda où tu n’es plus là.
Bonjour Marie,
Un mélange de vues, d’odeurs, de sensations corps et toute l’étendue de ces prévisions pour combler le vide… un coup d’arrêt. On ressent fort l’émotion.
Merci Catherine pour votre lecture, pour votre arrêt ici sur ce texte « là tout près ».
un texte sur l’absence
si belle description de ce monde aux odeurs de figuier
je t’ai suivie, Marie
Tes mots me touchent Françoise. Merci
Un beau texte très vif, qui défile jusqu’à la chute… très dure.
Merci pour ce moment de lecture touchant.
Bonjour Fil. Alors tant mieux. Quelquefois ça va de soi… mais pas toujours. Merci encore