gazon c’est à dire herbe plus horizon étalé jusqu’à l’ici plus celui qui regarde pas de gazon sans spectateur et de l’eau sinon dalle de latérite c’est à dire notre futur comment nous crèverons bientôt quand lentement certainement spectateur civilisé pas de gazon chez les sauvages il faut des classes sociales des traités de savoir vivre des jungles de règles non écrites et souvent non formulées jamais enseignées explicitement mais la parole sinon serions fourmis ce qu’il faut de travail d’exploitation pour qu’il n’y ait pas de sang sur le gazon que les pauvres n’y viennent pas s’allonger qu’il n’y ait pas de bruits d’engins et machines que les feuilles de l’arbre tremblent gratuitement il pourrait les compter les feuilles brunes disant l’automne en ce jour de solstice sur les doigts de quelques mains s’il avait des amis l’observateur souverain mais de plaque une seule et pas au centre pourquoi de là où il assiste au mode une forme plus oblongue qu’une amande un langue effilée de béton clair évidemment carrée vu de dessus avec un bordure en creux faisant cadre ou bien s’agit d’une dalle posée sur un support et faille entre eux pour le jeu la dilatation ou espace pour y glisser une lame faisant levier hôte de brins de brins herbes séchés amoncelés qui pourraient se tresser en corde et pour lutter contre ce vide sombre étroit ailleurs autour l’herbe tendre mangeant les bords du carré comme l’enfant le bordure du petit beurre plus lentement mais inexorablement jusqu’à la recouvrir si l’on ne s’avise pas de donner un ordre de le répéter et ce ne sera pas fait faute d’allonger son regard sans rien chercher l’herbe recouvrira tout comme elle enveloppe et emporte en elle les restes de la chair et encore à distance de la jungle minuscule au centre exactement un rectangle qui accueillerait la pointe dur d’un crochet pour que la dalle soit soulevé emportée dans les airs et que soit offert la fosse du regard mais pour le moment recueillant un verre à liqueur d’eau de pluie et l’offrant en miroir