Le retour à pied du centre de quelque part. A la fin du pont, un magasin avec des grosses écritures peintes en blanc sur une façade bleu de magasin d’électroménager à priori. Une route qui descend et qui remontera donc au retour à priori. Au creux de cette route en pente descendante se dresse sur un trottoir incurvé qui ressemble presque à une place, d’immenses portes en bois donnant sur un restaurant super chic dont on voit dépasser tu sais une végétation florissante verte et rouge. A l’allée c’est tout droit, au retour j’inverserai ma gauche de ma droite à priori. J’aurai bifurqué à priori et rien n’était plus pareil tout en se ressemblant exactement. A droite il y avait bien une rue en pente ascendante avec un magasin mais pas d’électroménager et pas de pont à suivre, les grandes portes du restaurant avaient disparue à la place une banque occupait une large façade d’un trottoir arrondie. Les gens de la rue d’a coté étaient les mêmes avec d’autres accessoires peut-être, celui là ne portait pas ce chapeau tout à l’heure et cette autre avait une jupe d’une autre couleur, une autre coiffure mais la même attitude. Cette allure, l’énergie de ces personnes qui savent ou elles vont, par ou elles doivent passer pour y aller. L’envie de les suivre et retrouver le chemin.